Protection des forêts alluviales et marécageuses

Superficie de forêts alluviales ou marécageuses existantes, créées ou restaurées (renaturation et/ou rétablissement du régime hydrique) sur le territoire communal. 

Définition d’après le règlement grand-ducal du 1er août 2018 pour les forêts alluviales : forêts riveraines (ripicoles) de Frêne commun Fraxinus excelsior et d’Aulne glutineux Alnus glutinosa, voire de Chêne pédonculé Quercus robur des cours d'eau planitiaires et collinéens (Alno-Padion) ou galeries arborescentes de Saules Salix alba et Salix fragilis bordant les rivières planitiaires, collinéennes ou submontagnardes (Salicion albae). Ces types se forment sur des sols lourds, généralement riches en dépôts alluviaux, périodiquement inondés par les crues annuelles, mais bien drainés et aérés pendant les basses eaux. La strate herbacée comprend toujours certaines grandes espèces comme Filipendula ulmaria, Carex spp., Cirsium oleraceum, Urtica dioica et parfois diverses espèces de géophytes vernaux.

Forêts marécageuses : le terme forêt marécageuse peut être attribué à la forte proportion d'arbres morts et mourants typiques de la forêt. Les forêts marécageuses sont azonales, c'est-à-dire qu'elles ne sont pas liées à des régions climatiques spécifiques, mais se trouvent partout où il y a un engorgement du sol. La plupart du temps, cependant, il ne s’agit que de zones de faible étendue dans les forêts.

Répartition des points (en ha) :
Fonction linéaire : 1 point correspond à 0,75 ha et 5 points correspondent à 3,75 ha
Nombre maximal de points : 5

Derniers médias
Circulaire du Ministère de l’Environnement, du Climat et du Développement Durable
pdf - 639.86 Ko